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Les limites du Sahara et du Sahel : un numéro d'équilibriste cartographique

Publié le 21/05/2023
Même l'isohyète des 200 mm n'est pas une limite satisfaisante en elle-même : cette moyenne annuelle cache une très forte variabilité, d'un mois à l'autre et d'une année à l'autre, sans parler des variations sur des pas de temps plus long, pluriannuels et séculaires. La cartographie des milieux oblige à des contorsions, comme l'usage de barbules symbolisant des écotones de largeur variable entre grands biomes. La transition de la forêt à la savane et à la steppe est un gradient et tracer des limites est nécessairement arbitraire. Voir : Pierre Le Hir, « La planète est plus « verte » qu’on ne le pensait », Le Monde, 12 mai 2017. Carte de Jean-Benoît Bouron, Géoconfluences, 2017
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Même l'isohyète des 200 mm n'est pas une limite satisfaisante en elle-même : cette moyenne annuelle cache une très forte variabilité, d'un mois à l'autre et d'une année à l'autre, sans parler des variations sur des pas de temps plus long, pluriannuels et séculaires. La cartographie des milieux oblige à des contorsions, comme l'usage de barbules symbolisant des écotones de largeur variable entre grands biomes. La transition de la forêt à la savane et à la steppe est un gradient et tracer des limites est nécessairement arbitraire. Voir : Pierre Le Hir, « La planète est plus « verte » qu’on ne le pensait », Le Monde, 12 mai 2017. Carte de Jean-Benoît Bouron, Géoconfluences, 2017

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