Disparités sociales à São Paulo (4)
Publié le 14/05/2024
Les vendeurs à la sauvette sont appelés en portugais du Brésil des camelôs, transposition du mot français camelots. Ils peuvent avoir un début de formalisation quand ils sont autorisés à monter un petit kiosque (sur la droite de la photo) mais le plus souvent ils doivent étaler leurs biens à même le sol sur une toile qu'ils peuvent replier rapidement. Dans certains quartiers on leur propose de se regrouper à l'abri dans un bâtiment appelé un 'camelódromo' mais la plupart du temps ils sont rapidement remplacés dans la rue par d'autres vendeurs à la situation encore plus précaire. Cliché H. Théry.
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Les vendeurs à la sauvette sont appelés en portugais du Brésil des camelôs, transposition du mot français camelots. Ils peuvent avoir un début de formalisation quand ils sont autorisés à monter un petit kiosque (sur la droite de la photo) mais le plus souvent ils doivent étaler leurs biens à même le sol sur une toile qu'ils peuvent replier rapidement. Dans certains quartiers on leur propose de se regrouper à l'abri dans un bâtiment appelé un 'camelódromo' mais la plupart du temps ils sont rapidement remplacés dans la rue par d'autres vendeurs à la situation encore plus précaire. Cliché H. Théry.


- Nature : Photographie
- Echelle : Locale
- Droit d'auteur : Licence Creative Commons (CC BY-NC-SA 3.0 FR)
- Thème(s) : Milieux, environnement, Urbain, Population, Cultures, Inégalités, Habiter, pratiques quotidiennes
- Espace(s) : Amérique du Sud et Caraïbes
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