Évolution démographique des vingt-trois arrondissements de Tokyo entre 1995 et 2010
Publié le 14/05/2024
On observe un effet gradient à partir des trois arrondissements centraux. Chiyoda-ku, Chûô-ku et Minato-ku ont connu la croissance démographique la plus forte, avec un maximum de +92 % pour Chûô-ku. Celle des arrondissements du péricentre a été moins vive mais néanmoins supérieure à 10 %, ce qui reste dynamique. Au-delà, l’évolution des arrondissements périphériques, essentiellement résidentiels, a été plus modérée, en particulier au nord. Elle reste néanmoins positive sur l’ensemble de la période. La structure est donc à l’opposé de celle des années 1960-1990, marquées par l’effet donut et l’évidement du centre. Réalisé par l'auteur. Source : Bureau des statistiques du Japon, 2014.
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On observe un effet gradient à partir des trois arrondissements centraux. Chiyoda-ku, Chûô-ku et Minato-ku ont connu la croissance démographique la plus forte, avec un maximum de +92 % pour Chûô-ku. Celle des arrondissements du péricentre a été moins vive mais néanmoins supérieure à 10 %, ce qui reste dynamique. Au-delà, l’évolution des arrondissements périphériques, essentiellement résidentiels, a été plus modérée, en particulier au nord. Elle reste néanmoins positive sur l’ensemble de la période. La structure est donc à l’opposé de celle des années 1960-1990, marquées par l’effet donut et l’évidement du centre. Réalisé par l'auteur. Source : Bureau des statistiques du Japon, 2014.


- Nature : Carte
- Echelle : Locale
- Droit d'auteur : Licence Creative Commons (CC BY-NC-SA 3.0 FR)
- Thème(s) : Urbain, Population, Inégalités, Frontières, limites, discontinuités, Habiter, pratiques quotidiennes, Évolution, chronologie, temporalités
- Espace(s) : Asie
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