Japon : les auteurs ont vu, ont lu, et vous conseillent...
et les auteurs du dossier consacré au Japon
Sauf mentions contraires, ces œuvres vous sont conseillées par Raphaël Languillon-Aussel, coordinateur de l'ensemble du dossier consacré au Japon.
1. Livres
1.1. Romans et nouvelles
Le Chat dans le cercueil (Hitsugi no naka no neko), par Mariko KOIKE, 2004. Un roman terrible, à lire jusqu'à la dernière page, sur les relations conflictuelles entre un père, sa nouvelle femme, sa fille unique et la petite chatte qu'elle prend pour sa mère. |
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Le Chat qui venait du ciel (Neko no kyaku), par Takashi HIRAIDE, 2001. Cours roman très poétique et tendre sur un jeune chat abandonné et malingre recueilli par un couple de Tokyo. S'en suit la description de leurs relations et de leur quotidien, jusqu'à ce que… |
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Confessions d'un masque (Kamen no Kokuhaku), par Yukio MISHIMA, 1949. Roman semi-autobiographique d'un adolescent homosexuel refoulé dans le Japon de l'entre-deux-guerres. Eclairant quant aux interdits et aux dissimulations sociaux, aux rapports hommes-femmes et aux modèles de normativité au Japon. |
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Le Convoi de l'eau (Mizu no soretsu), par Akira YOSHIMURA, 1967. Roman poétique et très épuré. L'histoire raconte la rencontre étrange entre une équipe d'ouvriers qui va construire un barrage dans une montagne isolée et la population maintenue à l'écart de la civilisation moderne vivant dans un hameau reculé menacé par la future montée des eaux. |
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Le Dit du Genji (Genji Monogatari), par Murasaki SHIKIBU. Écrit au 11ème siècle par une aristocrate de la cour impériale de Heian-kyo (l'actuelle Kyôto), Le Dit du Genji raconte la vie du prince impérial Genji, charmeur de femmes et poète chevronné qui ne peut prétendre au trône mais trouve toutefois le moyen de fonder une nouvelle dynastie. |
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Les Évaporés, par Thomas-B Reverdy, 2015. Le roman s'inspire d'un phénomène social peu connu : les évaporés, ces hommes et ces femmes qui un jour quittent leur vie et disparaissent sans laisser de trace ni donner de nouvelles à leurs proches. |
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Le Faste des morts (Shisha no ogori), par Kenzaburo OE, 1957. Cette nouvelle a lancé la carrière du prix Nobel japonais de littérature. Il est regroupé en français avec deux autres nouvelles qui décrivent toutes de jeunes gens confrontés à des situations extrêmes aux niveaux métaphoriques ou réalistes, sexuels, psychologiques ou politiques. |
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Les Fleurs d'Hiroshima, par Edita MORRIS, 1961. Écrit par une journaliste suédoise, le roman se situe dans le Hiroshima des années 1960, et décrit quinze ans après la bombe atomique la vie des survivants irradiés, les hibakusha, et l'anathème qui leur est tombé dessus. |
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Kyoto (Koto – littéralement "ancienne capitale"), par Yasunari KAWABATA, 1962. Le roman décrit les retrouvailles fortuites de deux sœurs jumelles lors du festival traditionnel de l'ancienne capitale impériale qu'est Kyoto, le Gion matsuri. S'en suit une réflexion romanesque sur l'âme du Japon ancestral et ses transformations modernes inspirées de l'Occident. |
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Le Marin rejeté par la mer, par Yukio MISHIMA, 1963. Dans ce très court roman, MISHIMA condense sa vision de l'adolescence masculine, à la fois cruelle, sadique, sexuelle et naïve, avec cette obsession de la pureté et du corps viril qui marque son œuvre. |
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Le Pont flottant des songes (Yume no ukihashi), par Junichiro TANIZAKI, 1956. Écrit par l'un des plus grands auteurs japonais du 20ème siècle, le roman décrit l'histoire d'un garçonnet qui perd sa mère très jeune et pour lequel son père reconstitue une mère de substitution avec laquelle le jeune garçon devenu adulte entretiendra des relations troubles. La fiction restitue ici une certaine vision de la famille et des relations filiales au Japon, et interroge en même temps la mémoire et la psychanalyse infantile. |
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La Submersion du Japon (Nihon chinbotsu), par Sakyo KOMATSU, 1973. Premier roman du genre, le thème de la catastrophe et des risques est ici poussé à son paroxysme avec la disparition totale du Japon dans l'océan Pacifique. A noté qu'il existe un film catastrophe inspiré du roman, réalisé par Shinji HIGUSHI en 2006. |
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La Tombe des lucioles, par Akiyuki NOSAKA, 1967. Nouvelle semi-autobiographique qui décrit le quotidien misérable d'un frère et d'une sœur livrés à eux-mêmes dans le Japon de la défaite, après que leur mère a été brûlée vive dans le bombardement de Kobe de 1945. Un récit d'une rare brutalité, mais également d'une grande humanité, en particulier dans les relations fraternelles. |
1.2. Lettres, essais, témoignages
Chroniques japonaises, par Nicolas BOUVIER, 1967. Récits de trois séjours au Japon de l'auteur effectués dans les années 1950 et 1960 (1955-1956, 1964-1966 et 1970) ponctués de précisions érudites sur l'histoire de l'archipel. |
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Le Goût de Tokyo, par Michaël FERRIER, 2008. L'auteur a compilé une anthologie de textes sur la capitale japonaise écrits par de grands noms de la littérature et des sciences humaines et sociales du Japon et d'Europe. |
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Éloge de l'ombre (In'ei raisan), par Jun'ichiro TANIZAKI, 1933. L'auteur proposer une analyse saisissante de l'esthétique japonaise, qui procède, selon lui, de l'ombre, par opposition à l'esthétique occidentale, à la fois lumineuse et affirmée. Les passages sur l'architecture et l'espace intéresseront les géographes. |
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L'Empire des signes, par Roland BARTHES, 1970. Sémiologue, Roland BARTHES cherche, à la suite d'un séjour au Japon, d'en comprendre le fonctionnement par le biais d'une analyse intelligente, à défaut d'être tout le temps juste, d'une société qui fonctionne avec d'autres signes et d'autres repères, y compris spatiaux, que nous. |
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Les Îles Goto, voyage aux confins de la Japonésie, par Philippe PELLETIER, 2015, Éditions du Cavalier Bleu. L’archipel des Goto appartient aux « îles éloignées » du Japon. Situé à l’extrémité occidentale du pays, il fut le haut lieu du martyrologue des chrétiens japonais au XVIIème siècle. Les Goto incarnent la dualité de cette Japonésie chère à l’auteur, entre ouverture et fermeture, avant-poste et arrière-garde, particularisme et universalité. Profondément marqué par le tour qu’il y a effectué, Philippe Pelletier nous livre ici un récit de voyage vivant, érudit, parfois drôle, souvent émouvant. Un témoignage de qualité de la part d'un des grands géographes français spécialistes du Japon. |
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Les Japonais par Raphaël LANGUILLON AUSSEL, Ateliers Henry Dougier, 2018. Sans jugement ni interprétation, Raphaël Languillon est allé à la rencontre de ce peuple que l’on croit à tort homogène. Il nous entraîne avec lui dans les rues des grandes métropoles de l’île de Honshu comme sur les petites îles reculées. On y rencontre des hommes, des femmes, tous très différents et on y parle librement de sujets peu souvent abordés sur le Japon. Ce livre est une invitation à rencontrer les Japonais, à entendre leurs témoignages et, surtout, à poursuivre le voyage par soi-même au pays du soleil levant. |
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Notes de chevet (Makura no soshi), par Sei Shonagon. Rédigées entre 990 et 1002 par une dame de compagnie de l'impératrice consort Teishi, les Notes se composent de listes de choses et d'impressions, de poésies et d'avis critiques sur les membres de la cour impériale. Il s'agit d'une œuvre majeure de la littérature japonaise du 11ème siècle. |
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Notes de Hiroshima (Hiroshima noto), par Kenzaburo OE, 1965. Le recueil est tiré de plusieurs reportages effectués par l'auteur à Hiroshima en 1963 et 1964. OE y décrit avec une très grande humanité les survivants irradiés et leurs enfants, appelés hibakusha, mis au ban de la société japonaise qui préfère les ignorer. |
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Notes de ma cabane de moine (Hojoki), par Kamo no Chomei, 1212. Ce texte est un témoignage historique précieux des transformations de la société du Japon du 13ème siècle, mais également de la vie érémitique et de la philosophie japonaise. Il est composé de deux parties : une première sur la société, une seconde sur le quotidien de l'auteur. |
1.3. Contes
Le Bureau des chats (Neko no jimusho), par Kenji MIYAZAWA, 1926. Recueil de contes fantastiques d'une grande poésie et d'une grande sensibilité. L'auteur, inconnu de son vivant et mort dans l'anonymat le plus total, est à présent l'un des plus lus du Japon, et célèbre justement pour ses contes, au nombre d'une centaine. |
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Kojiki. Littéralement « Chronique des faits anciens », le Kojiki est un recueil de mythes relatant l'origine des îles formant le Japon et les dieux. Il est rédigé par le chroniqueur O no Yasumaro sur ordre de l'impératrice Gemmei à partir des récits du conteur Hieda no Are, et achevé en 712. |
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Rashomon, par Ryunosuke AKUTAGAWA, 1915. L'action se déroule sous la célèbre porte Rasho, à Kyoto. Un soir, un homme misérable s'y abrite de la pluie et y découvre une vieillarde arrachant les cheveux des cadavres. Akutagawa a écrit de nombreuses nouvelles qui ont été partiellement traduite en français. |
1.4. Poésie
Connaissance de l'Est, par Paul CLAUDEL, 1900. Bien que la plupart des poèmes a été écrite en Chine, Paul CLAUDEL a également été ambassadeur de la France au Japon et a participé grandement à la fondation des relations contemporaines entre les deux pays, dont la célèbre Maison Franco-Japonaise, actuellement située à Ebisu (Tokyo). |
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Haikus et notes de voyage, par Bashô, moine errant et poète parmi les plus célèbres du Japon. Un haiku est un poème très court de trois vers de 5-7-5 pieds. |
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Journal japonais, par Richard BRAUTIGAN, 1978. Figure du mouvement littéraire de San Francisco dans les années 1950, Richard Brautigan publie, dans les années 1970, peu avant son suicide, un recueil d'haïku atypiques écrits lors d'un séjour au Japon, dans lequel le poète décrit ses impressions quant à la société japonaise de l'époque. Le choc culturel est toujours d'actualité. |
1.5. Manga
Akira, par Katsuhiro ÔTOMO, chez Kôdensha, série publiée de 1982 à 1990. Dans un Japon apocalyptique, ce manga décrit dans le Tokyo dystopique de l'année 2019 les déséquilibres socio-économiques des années 1980, celles de production de l'œuvre, au cours desquelles l'archipel connut les mesures néolibérales du gouvernement Nakasone et la Bulle spéculative de 1985-1991. |
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Franckushima, par Géraud BOURNET, 2016, Lutopiquant éditions. Textes, documents et témoignages sur la catastrophe de Fukushima et le risque nucléaire en France : http://franckushima.com/ Comment appréhender l'univers de la radioactivité dont le propre est d'être invisible, inodore, sans goût ni saveur ? Cinq ans après le début de la catastrophe de Fukushima, la liquidation du désastre a en grande partie permis sa banalisation et son oubli généralisé. À travers une démarche documentaire et graphique, Franckushima propose de revenir sur la catastrophe. Conseillé par Cécile Asanuma-Brice. |
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Quartier lointain (Haruka na machi he), par Jirô TANIGUCHI, 1998, traduction française chez Casterman (2002-2003). Un Japonais de 48 ans, sous les effets de l'alcool, se trompe de train pour rentrer chez lui et se dirige vers la ville de son enfance. Sur la tombe de sa mère, il se retrouve transporté dans le temps, dix mois avant la disparition inexpliquée de son père. Ce manga, très poétique, sensible et parfois contemplatif, interroge les rapports filiaux et familiaux au Japon et permet une immersion visuelle dans différentes catégories de l'espace japonais, à deux époques différentes. On peut citer également du même auteur pour leurs qualités visuelles et géographiques : L'homme qui marche (Haruku hito), 1990-1991 ; Le journal de mon père (Chichi no koyomi), 1994 ; Le gourmet solitaire (kodoku no gurume), 1994-1996. |
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Manabe shima, par Florent CHAVOUET, 2010, Philippe Picquier. Dans ce carnet de voyage plein d'humour, Florent Chavouet retranscrit la vie dans une île vieillissante de la mer intérieure. |
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Tokyo Sanpo, par Florent CHAVOUET, 2009, Philippe Picquier. Entre scènes de vie anodines et choc culturel amusé, Florent Chavouet décrit ses impressions lors de son premier voyage au Japon et à Tokyo, en retranscrivant ses pérégrinations dans un carnet de terrain illustré au rendu très géographique. |
1.6. Livres inclassables
Tokyo Totem - A Guide To Tokyo (English and Japanese edition) Paperback, 2015 En anglais. Un compendium de contributions créatives d'auteurs internationaux lié par un travail graphique original. Ce guide alternatif est constituté d'une série d'essais photographiques, d'analyses urbaines, de témoignages d'interventions artistiques, ou simplement d'écrits personels, chacun mettant en exergue des aspects singuliers de mœurs et modes de vies dictés par le tissu urbain tokyoïte. Conseillé par Thekla Boven. |
2. Films
2.1. Films de fiction
La Ballade de Narayama (Narayama bushikō), par Shôhei IMAMURA, 1983. Dans le Japon rural des années 1860, il existait une coutume de régulation de la population appelée « ubasute » : arrivés à l'âge de 70 ans, les anciens devaient se rendre dans les montagnes entourant les villages pour y mourir et ainsi délester la communauté de la nécessité de nourrir des individus moins productifs. La Ballade de Narayama raconte comment une mère tente de persuader son fils aimant de l'abandonner à la cruelle tradition après que celui-ci s'est marié. |
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Les Délices de Tokyo, par Naomi KAWASE, 2015. Si la trame principale se focalise sur une recette traditionnelle japonaise, les dorayaki, le film illustre avec sensibilité et sans misérabilisme excessif le traitement social de la souillure au Japon, en l'occurrence concernant les derniers lépreux de Tokyo. |
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Hiroshima mon amour, par Alain RESNAIS, 1959. La fiction décrit la venue à Hirohima d'une actrice française méconnue qui souhaite y tourner un film promouvant la paix. Elle y rencontre un Japonais survivant de la bombe, qui devient son amant. Ce film fait partie de la Nouvelle Vague du cinéma français. |
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L'Île nue (Hadaka no shima), par Kaneto SHINDÔ, 1960. Le film montre la dureté de la vie sur une île de la mer intérieure au sol ingrat et aride. L'œuvre éclaire sans artifice spectaculaire la situation de sur-insularité, les rapports à la mer, à l'îléité, à la mort et au temps, répétitif et cyclique, qui s'écoule inexorablement. |
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Nobody Knows (Dare mo shiranai), par Hirokazu KORE-EDA, 2004. Dans une société où être une femme célibataire est particulièrement difficile, pour ne pas dire fortement déprécié, le réalisateur KORE-EDA dépeint le quotidien difficile d'une famille monoparentale de quatre enfants qu'un jour la mère, jeune encore, abandonne pour aller refaire sa vie avec un homme. |
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Tel père tel fils (Soshite chichi ni naru), par Hirokazu KORE-EDA, 2013. Avec un scénario rappelant fortement celui de La vie est un long fleuve tranquille d'Étienne CHATILIEZ, ce film permet d'apprécier, à travers la rencontre inopinée de deux familles que tout sépare, les écarts de mode de vie et d'habitat entre classes moyennes inférieures et classes moyennes supérieures vivant dans l'agglomération de Tokyo aujourd'hui. |
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Voyage à Tokyo (Tokyo Monogatari), par Yasujiro OZU, 1953. Avec cette œuvre qui l'a fait connaître en Occident, OZU raconte l'histoire d'un couple de retraités qui viennent à Tokyo visiter leurs enfants, trop absorbés dans leur quotidien pour consacrer beaucoup d'attention à leurs vieux parents. Le film décrit ainsi d'une part les oppositions entre Tokyo et la province, et d'autre part le début de la désintégration du système familial japonais. |
2.2. Animés
Hayao MIYAZAKI : Le fondateur des célèbres studios Ghibli, créateur de nombreux animés japonais. Nous recommandons ceux qui touchent à la société japonaise contemporaine, en particulier le Voyage de Chihiro – Sen to Chihiro (animisme shintô, monde des bains et crise économique des parcs à thème). |
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La Colline aux coquelicots (Kokuriko zaka kara), par Gorô MIYAZAKI, 2011. Deux lycéens tombent amoureux dans le Yokohama des années 1960, période qui connaît une transformation radicale de la société japonaise, en pleine modernisation, juste avant les Jeux Olympiques de 1964. Un dessin animé où l'on peut voir les transformations urbaines du Kantô et les rapports sociaux de l'époque. |
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Tokyo Godfathers, par Satoshi KON, 2003. Un animé japonais haut en couleur et dynamique, qui entraîne le spectateur dans les bas-fonds du Tokyo des yakuzas, des sans-abri, des transgenres et des « évaporés ». Une société de l'envers très bien décrite et très bien rendue, avec humour et sensibilité, dans laquelle on suit trois marginaux aussi loufoques que pathétiques qui cherchent à retrouver les parents d'un nourrisson retrouvé vivant dans des poubelles le jour de Noël. |
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Le Tombeau des lucioles, par Isao TAKAHATA, du studio Ghibli, 1988. Inspiré d'une nouvelle d'Akiyuki NOSAKA, cet animé décrit le quotidien de deux enfants, un frère et une sœur, rendus orphelins à la suite du bombardement de Kobe en 1945 qui a tué leur mère. Une histoire réaliste particulièrement tragique, rendue toutefois avec plus de poésie que la nouvelle éponyme, bien plus crue et violente. |
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Your Name (Kimi no naha), par Makoto SHINKAI, 2016. Un animé poétique et subtile sur la notion de « musubi », l'entre-lien, entre les générations, les hommes et les femmes, l'humain et le divin, les époques, les territoires, l'hyper-urbain et l'ultra-rural, et une catastrophe qui rappellent aux Japonais celle du 11 mars 2011, sous une autre forme. |
5. Musique
À l’aube des temps : album réalisé par Wataru IWATA et Cécile ASANUMA-BRICE à partir de l'enregistrement de bruits issus de la mesure de la radioactivité ambiante au Japon, sur lesquels ont été ajoutés le récit de contes japonais et des instants de vie mis en poèmes musicaux. Œuvre très originale : https://www.lalogec.com/sound-gallery/ |
Pour citer cet article :
Raphaël Languillon-Aussel et et les auteurs du dossier consacré au Japon, « Japon : les auteurs ont vu, ont lu, et vous conseillent... », Géoconfluences, février 2018.
https://geoconfluences.ens-lyon.fr/informations-scientifiques/dossiers-regionaux/japon/ressources-classees/fictions-documentaires-japon